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Marie Agnès , le 09 novembre 2008 à 19:58

Pour ma part, je dis que cette confession, exercice de libre pensée qui existe et agit par la seule nécessité de sa nature est merveille de langage et que cet être déterminé par cet autre à exister et à agir,le Sieur Girardot de Nozeroy, est de si bonne compagnie qu'il ne faut point tarder à le connaître et l'entendre.

Extrait d'article (Revue "Regards de spectateurs) Yves Courty, le 06 novembre 2008 à 11:03

...Et, disons-le d’emblée, le texte est étonnant. Etonnant de modernité. Il s’agit d’un véritable parcours initiatique d’un homme qui arrête un jour le flot dément de sa vie (il était militaire et plongé dans les horreurs de la guerre) pour un voyage introspectif. En sept chapitres, chiffre hautement symbolique de la spiritualité.
A partir d’une citation de Spinoza, que reprend Girardot de Nozeroy, Christian Pageault nous emmène avec talent dans ce voyage, ces questionnements sur le réel et l’imaginaire, sur le rapport de l’homme au monde, à la nature, sur le sens de la vie, quoi. La langue est belle mais c’est surtout le fond qui nous laisse pantois : l’auteur est bien un homme de la Renaissance qui nous parle, comme Shakespeare de « l’harmonie des sphères », mais le développement de sa pensée nous concerne absolument au XXIème siècle. Ici, le théâtre devient un moment suspendu de sérénité, ce qui ne fait pas de mal en ces temps incompréhensibles.
J’ai eu la chance, le plaisir, le privilège d’entendre ce texte, d’être envoûté par Christian Pageault dans un cadre très intimiste
... L’acteur se propose de venir chez des particuliers qui réuniraient quelques amis. N’hésitez pas à offrir ce cadeau à vos amis ; ils vous en sauront gré.

R. Martine, "les amis du vieux Nozeroy", le 06 novembre 2008 à 10:59

...encore toutes mes félicitations pour votre lecture spectacle et votre performance d'acteur et pour avoir su parler vrai-faux ou mentir-vrai. Je communique votre site à des amis et connaissances

A. Bel La Fraternelle, le 06 novembre 2008 à 10:42

J'en profite pour te transférer les remerciements et félicitations que nous recevons pour l'accueil de ton spectacle.
Ils te reviennent de droit bien plus qu'à nous.

Jacques Pithioud, le 10 octobre 2008 à 11:19

Vieux brigand ! Où donc as-tu déniché ces bouteilles d'un autre âge ? Il m'importe ! Tu as dépoussiéré, "poli" le verre. Et tu nous as invités, en convivialité, à en déguster une. Lentement, dans le silence du silence, nous en avons distillé toutes les saveurs, les couleurs, les fragrances. Les yeux fermés, entre 2 respirs, il est entré en moi ; il a donné corps au corps. La bouteille ? Ah oui ! Un Girardot de Nozeroy, 1649 !

Roger Badois, le 09 octobre 2008 à 07:38

Redonner vie à un texte oublié c'est aussi nous redonner un peu de notre mémoire. Merci pour cette lecture des écrits de Mr Girardot de Nozeroy. Avis aux amateurs de théatre de qualité. Si ce spectacle arrive par chez vous courrez-y une belle rencontre vous est promise. Merci Christian. A très vite pour de nouvelles émotions.

Antonin CATY, le 06 octobre 2008 à 10:53

Ben en voilà un bien beau site !!!!
Ca le fait

Roger Bergeret, le 05 octobre 2008 à 15:50

Très beau site. Fond d'images, lisibilité, font un parcours très agréable. C'est beau, pas criard, et ça fonctionne. Un beau travail littéraire également, que l'on a plaisir à découvrir au fil des pages.