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Créations

Année 2005

20,21,22 Mai 2005

« MARTIN SQUELETTE »

D'après le roman de Pierre Véry
Musique Isabelle Aboudker

Mise en scène : Christian Pageault
Scénographie : Isabelle Jobard
Direction vocale : Fabienne Géry
Direction d'orchestre : Christophe Oudot
Lumière: Jérome Petitjean

Extrait de « Journal de bord », cahiers de mise en scène.C Pageault

Notre premier opéra ...un pari fou puisque nous n'aurons que 4 jours pour assembler le tout.
Le tout, c'est à dire quatre classes, et un orchestre.
Nous travaillons sur chacun des éléments du puzzle instinctivement, par fulgurance.
Au plein milieu du travail de mise en scène déjà bien avancé, Isabelle propose une idée de scénographie qui bouscule complètement tout ce qui a été répété mais qui allège, simplifie et surtout évite le piège du trop réaliste, recours instinctif de nos jeunes comédiens.
Et ce sera le début d'un travail de variation autour du thème de la chaise que nous poursuivrons sur une série de spectacles

Des images du spectacle ?
Premier son : une sirène d'alerte et un grincement d'ascenseur
Premier éclairage: un gyrophare inquiétant
Première image: un squelette assis, tête penchée qui semble nous sourire , et qui lentement apparaît au public au rythme de l'activation du monte charge
C'est notre première rencontre avec l'équipe technique du Théâtre de Lons Le Saunier. Beau travail d'improvisation!

A chaque séance, le théâtre est rempli

En partenariat avec le Conservatoire de Musique de Lons Le Saunier, le ministère de l'éducation Nationale, la Direction Régionale des Affaires Culturelle de Franche Comté, la communauté de commune du bassin Lédonien et Scène du Jura.

Les 30 Juin, 1,2,7,8,9 Juillet 2005

« MYSTERES DE ST-CLAUDE »

De Roger Bergeret

Mise en scène : Christian Pageault
Scénographie : Isabelle Jobard
Comedien : Claude Monnoyeur
Régie Générale : Eric Grenot

Extrait de « Journal de bord », cahiers de mise en scène.

A l'origine du projet une idée de Simone Lorge, une enseignante qui avait suivi une année de cours que je donnais à Lons.
« L'histoire du bras de la relique de St Claude auquel on a attribué des miracles ...un simple enregistrement diffusé dans une petite chapelle avec si possible la présence discrète d'un ou deux comédiens! »
A l'arrivée un tryptique sur 6 ans, soutenu par la Ville de St Claude, le Département, la Région et qui réunit une trentaine d' acteurs du Haut-Jura
Entre temps la rencontre avec un historien-écrivain extraordinaire Roger Bergeret « Mon Shakespeare à moi !», une quinzaine de Week-end de répétitions comme on sait les faire ( très chaleureuses) dans le Haut Jura
Isabelle et moi continuons notre variation autour de 20 chaises
Six tableaux naissent de ces rencontres, matérialisés par six tableaux noirs où s'inscriront une remontée dans le temps guidée par un curieux démiurge en vélo
Le Passot, figure emblématique à St Claude renait, dédoublé, à chaque époque.

300 spectateurs tous les soirs sur la place des Carmes
Une manière de rejouer « Avignon » qui me semble tellement plus juste!

En co-production avec « St Claude au fil du temps »
Soutenu par la Ville de St Claude, le Conseil Général du Jura, le Conseil Régional de Franche comté,
Les Commune de Lavans , Lect-Vouglans, Longchaumois et Septmoncel
Les amis du Vieux St Claude, la Maisons de Associations, l'office du tourisme, le Parc Naturel du Haut Jura, l'Union des commerçants et industriels de St Claude, le Rotary de St-Claude
Le collége Rosset et le collége de la Maitrise
La Compagnie du Tigre

16 Décembre 2005

« IL ETAIT TROIS FOIS »

D'après trois contes extraits de «Les plus belles histoires de Noël » Editions Milan

Mise en scène : Christian Pageault
Scénographie : Isabelle Jobard

Extrait de « Journal de bord », cahiers de mise en scène.

Encore un spectacle insufflé par une amie professeur: Noelle Herbin: « et si on faisait un arbre de Noël intelligent et utile? »
Partenaires: un comité d'entreprise à la recherche d'un spectacle d'un coté, de l'autre des élèves en formation d'animation
Le désir d'Isabelle et moi : comment être au plus proche du livre d'enfant, des illustrations naïves? Comment traduire sur scène l'intimité du geste du peintre ou de l'illustrateur?
La solution : le rétroprojecteur !
Et voilà comment un livre fou menace d'enfermer entre ses pages les comédiens du plateau
Voilà aussi comment surgissent du vide tous les personnages et les cadeaux imaginables
Et voilà comment une quinzaine de jeunes femmes et deux garçons, emmitouflés de pulls, se métamorphosent en lutins!

Soutenu par Lycée Agricole Mancy